PORTÉS À L’ÉCRIT- TRADUCTION / TRAHISON – ÉCRITURES
Chapitres
Préface Sommaire Tanah Berechit Chemot Vayikra Bamidbar Devarim Prophetes Rois Hagiographes Psaumes Proverbes Chouraqui Talmud Pirque Avot Prieres Rites et Symboles Midrash Aggadah/Aggadoth Mysticisme et Kabbale Histoire Shoah Portés à l'écrit Temple Sacrifices et Offrandes Sionisme et Messianisme Personnages Grandes Questions Courants Divers Juifs Samaritains Sectes 2eme Temple Chrétienté et Judaïsme Messie et Messianisme Karaisme Hassidisme Fêtes Juives et Temps Divers Annexes Chouraqui Edmond Fleg Leo Pinsker Simon Doubnov |
LE PORTÉ À L’ÉCRIT du Tanah ou Talmud provient de textes retrouvés ou de discussions rabbiniques, Makhlokets, plus ou moins bien transmises et plus ou moins bien trahies par les traductions.
LES SUPPORTS DES TEXTES tels que Papyrus, pierre, cuivre et papier ont résistés chacun à leur manière au temps. Yossele utilise l’expression de censure du temps pour décrire ce phénomène. D’autres types de censures ont existés. En dehors du temps, les Hahamims et les scribes ont parfois trouvés que certains textes étaient injurieux pour le judaïsme et les ont donc censurés. Une censure politique s’est aussi exercée quelquefois, une censure littéraire de temps en temps ou une censure sociale. L’OSTRACON : c’est un débris de poterie qui servait de support pour écrire pour tous les sujets. On en a trouvé dans tous les sites archéologiques du Moyen Orient et en particulier en quantités impressionnantes à Ougarit, Syrie actuelle. Les grecs s’en servaient pour tirer au sort ceux qui allaient combattre, d’où le mot Ostracisme. HADAD : L’origine du nom Hahad qui peut se traduire par repasseurs ferait allusion aux passeurs des frontières qui étaient métalliques.
Les noms de familles juifs désignaient souvent des villes, des pays ou la profession. PRÉNOMS : Les prénoms étaient plutôt donnés par les mères. Ils ont le plus souvent une signification. Yossef est le fils ‘’rajouté ‘’. Ytshak ‘’ il rira ‘’. Yaakov ‘’ il saisit le talon ‘’. Les prénoms modernes découlent de temps à temps des prénoms anciens. Elie donne ainsi Eliane. |
LANGUE MORTE : Une langue morte est une langue à qui on ne donne plus la parole. L’écrit reste.
JUGES OU CHOFTIMS : Le mot Choftims traduit par le Rabbinat par Juges est une mauvaise traduction. Chouraqui le traduit par le terme Suffètes qui évoque plus la notion de guide par rapport au peuple.
LANGUE : On peut parler la même langue et avoir un langage différent. La pensée est trahie par le langage. Le langage est trahi par l’écriture ; L’écriture constitue la limite précise entre la préhistoire et l’histoire qui peut alors commencer.
CANON BIBLIQUE : Le canon biblique a été fixé dès la fin du 1er siècle. Canon vient de la longueur d’un roseau, Cané en hébreu.
ALEF : 1ère lettre de l’alphabet hébraïque. Dans l’hébreu archaïque il était représenté par les cornes du taureau de tête. Il se traduit par Alfa dans sa traduction latine puis donne par dérivation Alphabet. Toutes les écritures possédant un alphabet commencent par l’équivalent de l’Alef.
Du mot Alef provient Elef soit mille en hébreu qui s’écrit de la même manière et Alouf soit chef. Le chef de famille est désigné par le terme Alef.
ÉCRIT : L’homme est passé de la pensée à la parole puis à l’écrit permettant ainsi de décrire les attributs de l’Éternel. Dès qu’il y a un écrit, celui-ci n’appartient plus à celui qui l’a écrit.
La pensée passe ensuite par la parole qui est elle-même fixée par l’écriture. Cette même pensée est trahie par le langage qui est trahi par l’écriture. Elle aboutit à des textes. L’Histoire peut ainsi commencer. L’écriture est la limite précise entre Préhistoire et Histoire.
JUGES OU CHOFTIMS : Le mot Choftims traduit par le Rabbinat par Juges est une mauvaise traduction. Chouraqui le traduit par le terme Suffètes qui évoque plus la notion de guide par rapport au peuple.
LANGUE : On peut parler la même langue et avoir un langage différent. La pensée est trahie par le langage. Le langage est trahi par l’écriture ; L’écriture constitue la limite précise entre la préhistoire et l’histoire qui peut alors commencer.
CANON BIBLIQUE : Le canon biblique a été fixé dès la fin du 1er siècle. Canon vient de la longueur d’un roseau, Cané en hébreu.
ALEF : 1ère lettre de l’alphabet hébraïque. Dans l’hébreu archaïque il était représenté par les cornes du taureau de tête. Il se traduit par Alfa dans sa traduction latine puis donne par dérivation Alphabet. Toutes les écritures possédant un alphabet commencent par l’équivalent de l’Alef.
Du mot Alef provient Elef soit mille en hébreu qui s’écrit de la même manière et Alouf soit chef. Le chef de famille est désigné par le terme Alef.
ÉCRIT : L’homme est passé de la pensée à la parole puis à l’écrit permettant ainsi de décrire les attributs de l’Éternel. Dès qu’il y a un écrit, celui-ci n’appartient plus à celui qui l’a écrit.
La pensée passe ensuite par la parole qui est elle-même fixée par l’écriture. Cette même pensée est trahie par le langage qui est trahi par l’écriture. Elle aboutit à des textes. L’Histoire peut ainsi commencer. L’écriture est la limite précise entre Préhistoire et Histoire.
LA TRADUCTION : C’est un parti pris de l’auteur par rapport au texte initial. L’exemple de Jacob partant de chez son beau-père Lavan est l’une des démonstrations de l’opinion et de l’interprétation du traducteur.
BERECHIT 28 paracha Vayetse – Verset 5 :
‘’ Isaac envoya ainsi Jacob au territoire d'Aram, chez Laban, fils de Bathuel, l'Araméen, frère de Rébecca, mère de Jacob et d'Ésaü.’’
Les traducteurs protestants ou Catholiques, s’appuyant sur le prophète Osée interprètent ce même passage en écrivant que Jacob s’enfuit en fait.
OSÉE 12 Verset 13 :
‘’ Jacob s'était réfugié sur le territoire d'Aram; Israël avait été esclave , pour une femme il avait été pâtre.’’
Ces 2 versions n’ont évidemment pas le même sens.
YOSSELE énonce 3 raisons principales pour qu’une traduction ne corresponde pas exactement au texte initial.
CH : Il n’y a pas de chuintante, Ch, en grec, ce qui fait que Shimon est devenu Simon.
L’ARAMÉEN : Langue sœur de l’arabe et seulement cousine de l’hébreu. Son nom vient d'Aram, une ancienne région de Mésopotamie.
L’Araméen constitue les caractères de la Bible. Ezra au retour de Babylone institue cette écriture assyro-babylonienne pour écrire la Bible.
BERECHIT 28 paracha Vayetse – Verset 5 :
‘’ Isaac envoya ainsi Jacob au territoire d'Aram, chez Laban, fils de Bathuel, l'Araméen, frère de Rébecca, mère de Jacob et d'Ésaü.’’
Les traducteurs protestants ou Catholiques, s’appuyant sur le prophète Osée interprètent ce même passage en écrivant que Jacob s’enfuit en fait.
OSÉE 12 Verset 13 :
‘’ Jacob s'était réfugié sur le territoire d'Aram; Israël avait été esclave , pour une femme il avait été pâtre.’’
Ces 2 versions n’ont évidemment pas le même sens.
YOSSELE énonce 3 raisons principales pour qu’une traduction ne corresponde pas exactement au texte initial.
- Qualité ou talent du traducteur
- biotope dans lequel il écrit
- et le milieu politique où il évolue.
CH : Il n’y a pas de chuintante, Ch, en grec, ce qui fait que Shimon est devenu Simon.
L’ARAMÉEN : Langue sœur de l’arabe et seulement cousine de l’hébreu. Son nom vient d'Aram, une ancienne région de Mésopotamie.
L’Araméen constitue les caractères de la Bible. Ezra au retour de Babylone institue cette écriture assyro-babylonienne pour écrire la Bible.
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LIVRES EXTERIEURS
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LIVRES APOCRYPHES :
Dans le Talmud il n’y a pas de traité de Hanouka alors qu’il existe un traité de la Méguila Esther. Certains textes n’ont pas été retranscrits dans le Talmud dont ceux de Judith ou le Séfer Hachmonaims – le Livre des Maccabés - qui pouvaient gêner les Rabbins, soit pour des raisons de morale soit pour une proximité trop grande avec le Christianisme.
Ces textes, dont certains figurent dans la Bible Chrétienne, furent appelés les livres apocryphes.
RAV KAHANA : Au 10 ème siècle le Rav Kahana réunit une partie de ces textes écrits en Grec car les originaux en Hébreu étaient perdus. Il les retraduit en Hébreu, notamment le Sefer Michlé - ou livre des proverbes - Il a fallu attendre les découvertes de Koumran, les fameux manuscrits de la Mer Morte, pour retrouver quelques rouleaux écrits en hébreu.
16 psaumes n’ont pas été retenus du tout ainsi que d‘autres livres, ni par le Judaïsme ni par le Christianisme. Ils furent tous compilés dans le Sefer Hitsonims ou Sefer des livres extérieurs.
YOSSELE rappelle que dans le Tanah le mot Séfer désigne tous les écrits sur parchemin, papyrus ou autres supports.
LETTRE ל : C’est la lettre la plus haute de l’alphabet hébraïque.
A rapprocher du verbe ללמוד –apprendre - qui est le devoir le plus important de tout juif.
CLASSIFICATION DES LETTRES SELON LA PRONONCIATION :
4 catégories
Lettres labiales telles que B ; M
Lettres linguales telles que L
Lettres dentales telles que E, O
Lettres palatales telles que T
NOMMER L’ÉTERNEL : A chaque fois que l’on essaie de nommer l’Eternel on se trompe car donner un nom c’est tenter de définir une consistance. Nous l’imaginons souvent comme un père ou comme un roi, Adon Olam – Maitre de l’Univers - Sur quoi et sur qui règne-t-il ? Moshe lui donne 13 attributs mais ne le nomme pas.
NOM DE L’ÉTERNEL : L’Éternel en Hébreu est un verbe יהוה, contrairement à toutes les autres appellations dans les autres croyances qui sont des substantifs.
LA PONCTUATION : Elle a été inventée entre le 6ème et 8ème siècle après JC.
On a introduit les voyelles alors que l’hébreu était devenu une langue morte employé uniquement pour la liturgie. A cette même période les cantillations apparurent.
LE MOT BAR : בר - est traduit de diverses façons en hébreu
Bar lev est un cœur pur ; bar est aussi un fils, la moisson, le désert, sauvage, etc
DÉSERT c’est ציה - Tsia en Hébreu. Mitbakh -מתבר désigne pour sa part le petit bétail du désert.
TANAKH : Ce n’est qu’à la fin du 1er siècle que les Hahamims du Talmud fixèrent le TanaKh tel qu’on le connait maintenant. C’est pourquoi les éthiopiens qui n’ont pas connu le Talmud lisent la Torah en Guèze et que les Yéménites le font en Araméen.
CARACTÈRES ARAMÉENS : Dans l’hébreu ancien fixé notamment sur la pierre de nombreuses lettres se ressemblent. C’est Ezra le scribe qui inventa un nouvel hébreu en caractères araméens.
AJOUT TARDIF : Le premier chapitre de la Genèse semble avoir été rajouté très tardivement lors du porté à l’écrit de la Torah.
PORTÉ À L’ÉCRIT : L’homme a d’abord fixé la pensée par la parole puis l’a porté à l’écrit.
FRUIT : Le mot fruit en latin se dit pomma qui a donné le mot pomme. Saint Jérôme traduit le fruit de la connaissance du jardin d’Éden par la fameuse pomme. La traduction de fruit écrit dans le texte initial par pomme est donc un acte volontaire et tendancieux de sa part.
KÉREN : Le mot Kéren qui veut dire à la fois faisceau lumineux ou irradiation utilisé lors de la descente de Moshe du mont Sinaï après avoir rencontré l’Éternel est interprété par le même Saint Jérôme comme Corne.
Ceci donna lieu par la suite à toute l’iconographie antijuive décrivant les juifs comme des êtres sataniques ayant des cornes.
SOULAM : Le mot Soulam n’apparait qu’une seule fois dans la Bible et est à ce titre très difficilement traduisible. Pour comprendre et l’interpréter comme une échelle on se sert de la racine סלמ en Accadien ou en Arabe.
APAX : C’est un mot employé une seule fois dans la Bible d’où la difficulté pour le traduire. L’exemple type est le mot Soulam.
PONTIFE : C’est la traduction utilisée par le rabbinat latin pour dénommer le Cohen Gadol. Bien qu’ayant une connotation chrétienne cette traduction est correcte, le pontife étant celui qui sert de pont entre l’homme et D.ieu.
CHABAT : Le mot Chabat vient de l’Acadien Sabatu qui veut dire Cesser.
Dans le Talmud il n’y a pas de traité de Hanouka alors qu’il existe un traité de la Méguila Esther. Certains textes n’ont pas été retranscrits dans le Talmud dont ceux de Judith ou le Séfer Hachmonaims – le Livre des Maccabés - qui pouvaient gêner les Rabbins, soit pour des raisons de morale soit pour une proximité trop grande avec le Christianisme.
Ces textes, dont certains figurent dans la Bible Chrétienne, furent appelés les livres apocryphes.
RAV KAHANA : Au 10 ème siècle le Rav Kahana réunit une partie de ces textes écrits en Grec car les originaux en Hébreu étaient perdus. Il les retraduit en Hébreu, notamment le Sefer Michlé - ou livre des proverbes - Il a fallu attendre les découvertes de Koumran, les fameux manuscrits de la Mer Morte, pour retrouver quelques rouleaux écrits en hébreu.
16 psaumes n’ont pas été retenus du tout ainsi que d‘autres livres, ni par le Judaïsme ni par le Christianisme. Ils furent tous compilés dans le Sefer Hitsonims ou Sefer des livres extérieurs.
YOSSELE rappelle que dans le Tanah le mot Séfer désigne tous les écrits sur parchemin, papyrus ou autres supports.
LETTRE ל : C’est la lettre la plus haute de l’alphabet hébraïque.
A rapprocher du verbe ללמוד –apprendre - qui est le devoir le plus important de tout juif.
CLASSIFICATION DES LETTRES SELON LA PRONONCIATION :
4 catégories
Lettres labiales telles que B ; M
Lettres linguales telles que L
Lettres dentales telles que E, O
Lettres palatales telles que T
NOMMER L’ÉTERNEL : A chaque fois que l’on essaie de nommer l’Eternel on se trompe car donner un nom c’est tenter de définir une consistance. Nous l’imaginons souvent comme un père ou comme un roi, Adon Olam – Maitre de l’Univers - Sur quoi et sur qui règne-t-il ? Moshe lui donne 13 attributs mais ne le nomme pas.
NOM DE L’ÉTERNEL : L’Éternel en Hébreu est un verbe יהוה, contrairement à toutes les autres appellations dans les autres croyances qui sont des substantifs.
LA PONCTUATION : Elle a été inventée entre le 6ème et 8ème siècle après JC.
On a introduit les voyelles alors que l’hébreu était devenu une langue morte employé uniquement pour la liturgie. A cette même période les cantillations apparurent.
LE MOT BAR : בר - est traduit de diverses façons en hébreu
Bar lev est un cœur pur ; bar est aussi un fils, la moisson, le désert, sauvage, etc
DÉSERT c’est ציה - Tsia en Hébreu. Mitbakh -מתבר désigne pour sa part le petit bétail du désert.
TANAKH : Ce n’est qu’à la fin du 1er siècle que les Hahamims du Talmud fixèrent le TanaKh tel qu’on le connait maintenant. C’est pourquoi les éthiopiens qui n’ont pas connu le Talmud lisent la Torah en Guèze et que les Yéménites le font en Araméen.
CARACTÈRES ARAMÉENS : Dans l’hébreu ancien fixé notamment sur la pierre de nombreuses lettres se ressemblent. C’est Ezra le scribe qui inventa un nouvel hébreu en caractères araméens.
AJOUT TARDIF : Le premier chapitre de la Genèse semble avoir été rajouté très tardivement lors du porté à l’écrit de la Torah.
PORTÉ À L’ÉCRIT : L’homme a d’abord fixé la pensée par la parole puis l’a porté à l’écrit.
FRUIT : Le mot fruit en latin se dit pomma qui a donné le mot pomme. Saint Jérôme traduit le fruit de la connaissance du jardin d’Éden par la fameuse pomme. La traduction de fruit écrit dans le texte initial par pomme est donc un acte volontaire et tendancieux de sa part.
KÉREN : Le mot Kéren qui veut dire à la fois faisceau lumineux ou irradiation utilisé lors de la descente de Moshe du mont Sinaï après avoir rencontré l’Éternel est interprété par le même Saint Jérôme comme Corne.
Ceci donna lieu par la suite à toute l’iconographie antijuive décrivant les juifs comme des êtres sataniques ayant des cornes.
SOULAM : Le mot Soulam n’apparait qu’une seule fois dans la Bible et est à ce titre très difficilement traduisible. Pour comprendre et l’interpréter comme une échelle on se sert de la racine סלמ en Accadien ou en Arabe.
APAX : C’est un mot employé une seule fois dans la Bible d’où la difficulté pour le traduire. L’exemple type est le mot Soulam.
PONTIFE : C’est la traduction utilisée par le rabbinat latin pour dénommer le Cohen Gadol. Bien qu’ayant une connotation chrétienne cette traduction est correcte, le pontife étant celui qui sert de pont entre l’homme et D.ieu.
CHABAT : Le mot Chabat vient de l’Acadien Sabatu qui veut dire Cesser.
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SEPTANTE
Sous le pharaon Ptolémée 2, nommé aussi Philadelphos – Qui aime son frère/sa sœur – 309 avant JC à - 246, ce roi très hellénisé fait venir à Alexandrie le grand prêtre accompagné de 72 hahamims, 6 par tribus, afin de traduire la Torah de l’hébreu en grec.
La légende raconte que chacun de ces Hahamims aboutira à une traduction rigoureusement identique à celles des 72 autres, y compris dans des traductions erronés intentionnellement. L’ouvrage prendra le nom de Septante.
La légende raconte que chacun de ces Hahamims aboutira à une traduction rigoureusement identique à celles des 72 autres, y compris dans des traductions erronés intentionnellement. L’ouvrage prendra le nom de Septante.
LETTRE D’ARISTÉE
SEPTANTE - MOTS CORRIGÉS
Les Hahamims ont jugés à postériori que la traduction des Septantes, -270 environ, comportait des mots improprement traduits ou gênants pour le Judaïsme.
Le mot ‘’ lapine ‘’ par exemple interdit par la cacherout fut substitué par le terme ‘’ animal aux grandes oreilles ‘’.
Dans la fiche ci-dessus YOSSELE fait le recensement de 26 mots corrigés.
Le mot ‘’ lapine ‘’ par exemple interdit par la cacherout fut substitué par le terme ‘’ animal aux grandes oreilles ‘’.
Dans la fiche ci-dessus YOSSELE fait le recensement de 26 mots corrigés.
CONGRÈS DE STRASBOURG 1956 - KITTEL ET KALE
Cette fiche de Kittel et Kale est un extrait du travail réalisé lors de ce congrès ou à partir d’un texte biblique en l’occurrence le passage du ‘’Chema’’ les différents intervenants ont proposés des traductions et interprétations différentes pour chaque mots écrits.
DEUTÉRONOME 6 versets 4 à 9 :
‘’ Écoute, Israël: l'Éternel est notre D.ieu, l'Éternel est un! Tu aimeras l'Éternel, ton D.ieu, de tout ton cœur, de toute ton âme et de tout ton pouvoir. Ces devoirs que je t'impose aujourd'hui seront gravés dans ton cœur. Tu les inculqueras à tes enfants et tu t'en entretiendras, soit dans ta maison, soit en voyage, en te couchant et en te levant. Tu les attacheras, comme symbole, sur ton bras, et les porteras en fronteau entre tes yeux. Tu les inscriras sur les poteaux de ta maison et sur tes portes.’’
On nous rappelle que le texte initial fut écrit en hébreu archaïque et que les caractères actuels que nous avons sous les yeux furent inventés à Babylone par les araméens. Elle est tirée d‘un énorme travail réalisé à l’occasion de ce congrès où les participants se sont basés sur plus de 300 traductions différentes.
Plusieurs mots en hébreu biblique sont homonymes avec des écritures identiques mais avec des significations différentes, les traducteurs décidant du sens qu’ils veulent donner.
Exemple du mot Poked
EXODE 20 Verset 5 :
‘’ Tu ne te prosterneras point devant elles – les idoles - … car moi l’Éternel, ton d.ieu, je suis un D.ieu jaloux qui poursuis le crime des pères sur les enfants’’
Le mot Poked prend le sens ici de poursuivre.
EXODE 38 Verset 21 :
‘’ Telle est la distribution du Tabernacle …’’
Le mot Poked est ici traduit par distribution.
EXODE 38 Verset 25 :
‘’ L’argent, produit du dénombrement de la communauté …’’
Le mot Poked prend le sens de produit.
GENÈSE 21 Verset 1 :
‘’ Or l’Éternel s’était souvenu de Sarah comme il l’avait dit…’’
Le mot Poked a le sens de souvenir.
DEUTÉRONOME 6 versets 4 à 9 :
‘’ Écoute, Israël: l'Éternel est notre D.ieu, l'Éternel est un! Tu aimeras l'Éternel, ton D.ieu, de tout ton cœur, de toute ton âme et de tout ton pouvoir. Ces devoirs que je t'impose aujourd'hui seront gravés dans ton cœur. Tu les inculqueras à tes enfants et tu t'en entretiendras, soit dans ta maison, soit en voyage, en te couchant et en te levant. Tu les attacheras, comme symbole, sur ton bras, et les porteras en fronteau entre tes yeux. Tu les inscriras sur les poteaux de ta maison et sur tes portes.’’
On nous rappelle que le texte initial fut écrit en hébreu archaïque et que les caractères actuels que nous avons sous les yeux furent inventés à Babylone par les araméens. Elle est tirée d‘un énorme travail réalisé à l’occasion de ce congrès où les participants se sont basés sur plus de 300 traductions différentes.
Plusieurs mots en hébreu biblique sont homonymes avec des écritures identiques mais avec des significations différentes, les traducteurs décidant du sens qu’ils veulent donner.
Exemple du mot Poked
EXODE 20 Verset 5 :
‘’ Tu ne te prosterneras point devant elles – les idoles - … car moi l’Éternel, ton d.ieu, je suis un D.ieu jaloux qui poursuis le crime des pères sur les enfants’’
Le mot Poked prend le sens ici de poursuivre.
EXODE 38 Verset 21 :
‘’ Telle est la distribution du Tabernacle …’’
Le mot Poked est ici traduit par distribution.
EXODE 38 Verset 25 :
‘’ L’argent, produit du dénombrement de la communauté …’’
Le mot Poked prend le sens de produit.
GENÈSE 21 Verset 1 :
‘’ Or l’Éternel s’était souvenu de Sarah comme il l’avait dit…’’
Le mot Poked a le sens de souvenir.
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BIBLE SAMARITAINE
Dans ce chapitre tiré de Vayira, YOSSELE nous montre les différences de traduction ou même d’écriture entre la bible samaritaine et celle des rabbanims que nous suivons. Les Samaritains n’ont pas été sous l’influence araméenne.
ALPHABET SAMARITAIN
ÉCRITURE SAMARITAINE
Journal Samaritain
VULGATE : La traduction en latin appelée Vulgate faite au 5ème siècle par Hyeronimus ou Saint Jérôme est le summum de la Traduction-Trahison tant sont nombreuses les traductions tendancieuses au profit du Verus Israël, le vrai Israël représenté par les chrétiens au détriment des juifs.
VOYELLES : L’hébreu comme la plupart des écritures sémitiques ne comporte pas de voyelles. Ce n’est qu’au 9ème siècle que furent inventés à Tibériade les signes représentant les voyelles.
CANAL D’ÉZÉCHIAS OU CANAL DE SILOÉ :
On découvre en 1880 un canal sous terrain datant de la période du Roi Ézéchias, roi de Juda en -700 à l’endroit d’Ir David, la Jérusalem antique. Ce canal devait amener l’eau d’un côté de la ville à l’autre. Il mesurait 530 mètres de long avec une forme de S et taillé dans la roche dure. C’est un exploit technique pour l’époque encore inexpliqué aujourd’hui car les 2 équipes ont travaillées indépendamment l’une de l’autre et ont réussies à faire la jonction au milieu sans l’aide de nos instruments modernes.
Cet exploit est relaté sur une pierre gravée en lettres hébraïques archaïques. C’est à ce jour l’inscription la plus ancienne en hébreu ancien qui est conservée au musée d’Istanbul.
ROIS 2. 20 Verset 20 :
‘’ Pour les autres faits concernant Ézéchias, tous ses exploits, le bassin et l’aqueduc qu’il a fait établir pour amener l’eau dans la ville, tout cela est consigné dans le livre des annales des rois de Juda.’’
CHRONIQUES 2. 32 Verset 30 :
‘’ Ce fut Ézéchias qui boucha l’issue supérieure des eaux du Ghihon et les dirigea par en bas du côté occidental vers la cité de David, et Ézéchias réussit dans toutes ses entreprises.’’
VOYELLES : L’hébreu comme la plupart des écritures sémitiques ne comporte pas de voyelles. Ce n’est qu’au 9ème siècle que furent inventés à Tibériade les signes représentant les voyelles.
CANAL D’ÉZÉCHIAS OU CANAL DE SILOÉ :
On découvre en 1880 un canal sous terrain datant de la période du Roi Ézéchias, roi de Juda en -700 à l’endroit d’Ir David, la Jérusalem antique. Ce canal devait amener l’eau d’un côté de la ville à l’autre. Il mesurait 530 mètres de long avec une forme de S et taillé dans la roche dure. C’est un exploit technique pour l’époque encore inexpliqué aujourd’hui car les 2 équipes ont travaillées indépendamment l’une de l’autre et ont réussies à faire la jonction au milieu sans l’aide de nos instruments modernes.
Cet exploit est relaté sur une pierre gravée en lettres hébraïques archaïques. C’est à ce jour l’inscription la plus ancienne en hébreu ancien qui est conservée au musée d’Istanbul.
ROIS 2. 20 Verset 20 :
‘’ Pour les autres faits concernant Ézéchias, tous ses exploits, le bassin et l’aqueduc qu’il a fait établir pour amener l’eau dans la ville, tout cela est consigné dans le livre des annales des rois de Juda.’’
CHRONIQUES 2. 32 Verset 30 :
‘’ Ce fut Ézéchias qui boucha l’issue supérieure des eaux du Ghihon et les dirigea par en bas du côté occidental vers la cité de David, et Ézéchias réussit dans toutes ses entreprises.’’
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HÉBREU ARCHAIQUE - INSCRIPTIONS SUR OSTRACONS
Un ostracon est un morceau de poterie fracturé sur lequel on écrivait toutes sortes d’inscriptions de type social, économique, politique ou même vie intime.
Dans cette fiche les inscriptions représentent une missive adressée au Roi YEHOYAKIM vers -600.
Dans cette fiche les inscriptions représentent une missive adressée au Roi YEHOYAKIM vers -600.
HÉBREU ARCHAIQUE - SCEAU D’HELIAKIM
HELIAKIM était le vizir du Roi et l’on découvre sur cette fiche son seau.
Nous y trouvons aussi la reproduction d’un ostracon qui reproduit la plainte d’un ouvrier contre son patron concernant l’absence de vêtements de travail.
L’écriture archaïque ou protosinaïtique a beaucoup empruntée aux hiéroglyphes égyptiens. Hyero voulant dire sacré et glyphe écriture.
Canaan était une province égyptienne. Les pictogrammes et idéogrammes qui ont suivis sont plus évolués que les hiéroglyphes qui décrivaient des mots, des noms des situations ou des évènements.
Des milliers d’ostracons comportant parfois des textes complets ont été trouvés un peu partout dans cette région, notamment à Guezer près de Ramlé, à Modiin, à Hatzor, Méguido…
On se servait des lettres pour désigner des chiffres. De nombreuses inscriptions furent écrites en langue moabite proche de l’hébreu.
YOSSELE nous apprend qu’au 11ème siècle en Espagne l’hébreu était à son plus haut niveau avec des géants comme Yehouda Halevy ou Ibn Gvirol qui écrivirent parmi les plus beaux poèmes repris par la liturgie juive tels que : Le Kusari, les Sionides, Adon Olam, …, mis plus tard en musiques et chantés dans les synagogues.
MOISE DE LEON : Au 13ème siècle un tout petit groupe d’auteurs de la plus haute importance tels que Moise de Léon remettent l’Araméen à l’honneur et écrivent des ouvrages tels que le Zohar.
L’Araméen et l’Hébreu ancien, d’où découle l’Hébreu moderne, ont considérablement évolués dans le temps notamment les lettres et même certaines prononciations.
Le Tché est devenu Tse. Les lettres finales n’existaient pas. Les mots s’enchainaient sans séparations et constituaient de longues phrases sans ponctuations. C’est Ezra le Scribe – Sofer - qui fit évoluer plus tard l’écriture.
A l’époque du 2ème Temple on ne parlait qu’Araméen. L’écriture en hébreu ancien encore utilisée aujourd’hui par les Samaritains n’a subie aucune modification.
Nous y trouvons aussi la reproduction d’un ostracon qui reproduit la plainte d’un ouvrier contre son patron concernant l’absence de vêtements de travail.
L’écriture archaïque ou protosinaïtique a beaucoup empruntée aux hiéroglyphes égyptiens. Hyero voulant dire sacré et glyphe écriture.
Canaan était une province égyptienne. Les pictogrammes et idéogrammes qui ont suivis sont plus évolués que les hiéroglyphes qui décrivaient des mots, des noms des situations ou des évènements.
Des milliers d’ostracons comportant parfois des textes complets ont été trouvés un peu partout dans cette région, notamment à Guezer près de Ramlé, à Modiin, à Hatzor, Méguido…
On se servait des lettres pour désigner des chiffres. De nombreuses inscriptions furent écrites en langue moabite proche de l’hébreu.
YOSSELE nous apprend qu’au 11ème siècle en Espagne l’hébreu était à son plus haut niveau avec des géants comme Yehouda Halevy ou Ibn Gvirol qui écrivirent parmi les plus beaux poèmes repris par la liturgie juive tels que : Le Kusari, les Sionides, Adon Olam, …, mis plus tard en musiques et chantés dans les synagogues.
MOISE DE LEON : Au 13ème siècle un tout petit groupe d’auteurs de la plus haute importance tels que Moise de Léon remettent l’Araméen à l’honneur et écrivent des ouvrages tels que le Zohar.
L’Araméen et l’Hébreu ancien, d’où découle l’Hébreu moderne, ont considérablement évolués dans le temps notamment les lettres et même certaines prononciations.
Le Tché est devenu Tse. Les lettres finales n’existaient pas. Les mots s’enchainaient sans séparations et constituaient de longues phrases sans ponctuations. C’est Ezra le Scribe – Sofer - qui fit évoluer plus tard l’écriture.
A l’époque du 2ème Temple on ne parlait qu’Araméen. L’écriture en hébreu ancien encore utilisée aujourd’hui par les Samaritains n’a subie aucune modification.
OUGARIT
CARTE DU MOYEN ORIENT DU TEMPS DES PATRIARCHES - LIEU DES OUGARITES
ALPHABET PICTOGRAMMIQUE D’OUGARIT
OUGARIT : On pense que le premier alphabet connu est né à Ougarit au Nord du pays de Canaan, Syrie actuelle.
On y liste les 30 lettres ou signes – Otiot – ougaritiques avec des correspondances entre les alphabets hébreu et arabe.
Ougarit, aujourd’hui en Syrie, fut surtout vers – 2000, une très grande ville carrefour et la capitale du Royaume d’Ougarit. C’est un site archéologique de 1ère importance.
On y liste les 30 lettres ou signes – Otiot – ougaritiques avec des correspondances entre les alphabets hébreu et arabe.
Ougarit, aujourd’hui en Syrie, fut surtout vers – 2000, une très grande ville carrefour et la capitale du Royaume d’Ougarit. C’est un site archéologique de 1ère importance.
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SEFER TORAH YÉMÉNITE
YOSSELE recense 12 différences flagrantes entre le Sefer Torah Yéménite et celui que l’on lit habituellement. Le nombre de Mitsvots à accomplir n’est pas le même. Certaines lettres, notamment des Vav et des Tet, sont absentes.
LA GUÉMATRIA : C’est un mot grec qui découle du mot géométrie.
C’est une forme d'exégèse propre à la Bible hébraïque dans laquelle on additionne la valeur numérique des lettres et des phrases afin de les interpréter.
Cette forme d’exégèse était déjà utilisée dans l’Ilyade et l’Odyssée.
On suppose que la Torah fut portée à l’écrit autour de 500. Sans l’herméneutique de Rachi on ne pourrait pas comprendre le Talmud écrit en araméen. Rachi écrivait des cahiers pour ses élèves qui les recopiaient. Il utilisait peu la Guematria.
ÉCRITURE
Elle fixe la pensée sur un support
L’écriture cursive est le nom donné aux graphies ayant un tracé rapide résultant de la simplification d'écritures calligraphiées. Elle est à rapprocher du mot course.
L’imprimerie donne l’accès facile à la lecture pour tous pour un coût réduit, surtout développée en Italie, à Venise en particulier.
Au retour de Babylone toute la Torah fut réécrite en caractère araméen remplaçant l’Hébreu ancien afin que tout le monde soit apte à la comprendre.
L’écriture de l’hébreu actuel correspond à l’écriture araméenne.
C’est une forme d'exégèse propre à la Bible hébraïque dans laquelle on additionne la valeur numérique des lettres et des phrases afin de les interpréter.
Cette forme d’exégèse était déjà utilisée dans l’Ilyade et l’Odyssée.
On suppose que la Torah fut portée à l’écrit autour de 500. Sans l’herméneutique de Rachi on ne pourrait pas comprendre le Talmud écrit en araméen. Rachi écrivait des cahiers pour ses élèves qui les recopiaient. Il utilisait peu la Guematria.
ÉCRITURE
Elle fixe la pensée sur un support
L’écriture cursive est le nom donné aux graphies ayant un tracé rapide résultant de la simplification d'écritures calligraphiées. Elle est à rapprocher du mot course.
L’imprimerie donne l’accès facile à la lecture pour tous pour un coût réduit, surtout développée en Italie, à Venise en particulier.
Au retour de Babylone toute la Torah fut réécrite en caractère araméen remplaçant l’Hébreu ancien afin que tout le monde soit apte à la comprendre.
L’écriture de l’hébreu actuel correspond à l’écriture araméenne.
ÉVOLUTION DE L’ALPHABET
Dans ces 2 fiches on constate l’évolution de mots-signes pictogrammiques vers une synthèse de la lettre de l’alphabet hébreu- sumérien.
Exemples :
Un petit rond désignant un œil aboutira à la lettre Haïn , ע.
Une arme en forme de faucille donnera la lettre Zaïn, ז.
Un crochet droit donnera le Vav, ו.
Un coin stylisé aboutira au Rech, puis Roch la tête, ר.
Un crochet courbé sera le Chin, puis la dent Chen, ש.
Une tête de taureau sera le Alef, puis Alouf un chef ou enseignant, א.
Le crochet incurvé donnera le Bet, bait ou maison, ב.
L’arme inversée donnera le Guimel, la bosse du chameau, Gamal, ג.
L’interjection Hé, ה, est devenue une lettre muette exprimante beaucoup plus tard, ainsi que le Tav, ת, d’abord utilisée comme note de musique.
La connaissance et l’étude du Talmud par les Hahamims se faisait de manière orale jusqu’au 5ème siècle date à laquelle ils décidèrent de le porter à l’écrit malgré leur propre interdiction. Heureusement qu’ils transgressèrent leur propre règle d’après YOSSELE car sinon rien ne nous serait parvenu.
Exemples :
Un petit rond désignant un œil aboutira à la lettre Haïn , ע.
Une arme en forme de faucille donnera la lettre Zaïn, ז.
Un crochet droit donnera le Vav, ו.
Un coin stylisé aboutira au Rech, puis Roch la tête, ר.
Un crochet courbé sera le Chin, puis la dent Chen, ש.
Une tête de taureau sera le Alef, puis Alouf un chef ou enseignant, א.
Le crochet incurvé donnera le Bet, bait ou maison, ב.
L’arme inversée donnera le Guimel, la bosse du chameau, Gamal, ג.
L’interjection Hé, ה, est devenue une lettre muette exprimante beaucoup plus tard, ainsi que le Tav, ת, d’abord utilisée comme note de musique.
La connaissance et l’étude du Talmud par les Hahamims se faisait de manière orale jusqu’au 5ème siècle date à laquelle ils décidèrent de le porter à l’écrit malgré leur propre interdiction. Heureusement qu’ils transgressèrent leur propre règle d’après YOSSELE car sinon rien ne nous serait parvenu.
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PAGE DE COUVERTURE DU LIVRE SEFER KETER TORAH ILLUSTRÉ ET ÉCRIT PAR SAADIA GAON (RECTO-VERSO)
La langue employée dans ce livre est un mélange d‘Hébreu, d’araméen et d’arabe. L’écriture utilise des caractères hébraïques. Le nom donné à cette traduction est TAG en Hébreu ou TADJ en arabe.
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VALEUR NUMÉRIQUE DES LETTRES HÉBRAIQUES
La valeur numérique des lettres finales n’est généralement pas utilisée. On la retrouve surtout dans les commentaires de la mystique.
Les lettres doubles ont la même valeur avec ou sans Daguech.
Cette fiche est établie de la main de YOSSELE.
Les lettres doubles ont la même valeur avec ou sans Daguech.
Cette fiche est établie de la main de YOSSELE.
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ÉVOLUTION DE L’ALPHABET DU PROTOSINAIQUE À L’ARAMÉEN ET AU LATIN
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ÉCRITURE RACHI
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ÉCRITURE CHILOA
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